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DES DESSINS D’ARCHIVES POUR SUBLIMER LES MURS
Fidèle à sa tradition consistant à donner un nouveau souffle à d’anciens motifs, Little Greene s’est de nouveau plongée dans les archives de l’English Heritage à la recherche de motifs historiques pouvant parfaitement s’adapter aux intérieurs modernes.
London Wallpapers IV est un splendide recueil de ...
DES DESSINS D’ARCHIVES POUR SUBLIMER LES MURS
Fidèle à sa tradition consistant à donner un nouveau souffle à d’anciens motifs, Little Greene s’est de nouveau plongée dans les archives de l’English Heritage à la recherche de motifs historiques pouvant parfaitement s’adapter aux intérieurs modernes.
London Wallpapers IV est un splendide recueil de motifs originaux, dont les dimensions et les coloris ont été modifiés pour s’adapter aux intérieurs contemporains. La collection sera lancée à l’occasion de Paris Déco-Off, en janvier 2017.
Elle se compose de 12 motifs déclinés dans de subtiles combinaisons de couleurs classiques et contemporaines, relevés d’étonnantes textures imprimées. Cinq motifs sont issus de collections existantes avec des combinaisons de couleurs originales mais également des tons nouveaux, mis au goût du jour. On y découvre aussi 7 dessins inédits déclinés dans un éventail de nuances étonnantes.
Couvrant 3 siècles du style britannique, les motifs originaux couvrent la période de 1760 à 1950. Principalement fabriqués à Londres pour décorer d’élégantes maisons de ville et de campagne, chaque motif est rattaché à une adresse, lieu de sa découverte.
Ce papier au motif gigantesque, qui rappelle les soies de Spitalfields, a été trouvé dans Albemarle Street, dans le quartier de Piccadilly.
Sur un fond rouge, qui rappelle le style gothique, le papier original a été fabriqué à partir de cellulose de pulpe de pâte à papier et imprimé à la machine.
Le tout premier papier prélevé sur un échantillon composé de 4 épaisseurs, ce treillis gothique aux influences mauresques, était le premier papier qui habillait les murs de l’une des propriétés ayant succédé à la prison à la fin des années 1870.
Découvert dans plusieurs élégantes maisons du début du XVIIIème siècle de Broadwick Street, dans le quartier de Soho, ce motif est étonnant car il s’inspire d’une reproduction botanique précise : Clusia Rosea.
D’un point de vue stylistique, ce motif est indéniablement français. Toutefois, le morceau d’archive provient d’une adresse prestigieuse près de la Tamise. La bande décorative de chaque côté de la colonne de fleurs a été conservée mais allégée afin de conférer plus d’équilibre au motif à répétition.
D’un point de vue stylistique, ce motif est indéniablement français. Toutefois, le morceau d’archive provient d’une adresse prestigieuse près de la Tamise. La bande décorative de chaque côté de la colonne de fleurs a été conservée mais allégée afin de conférer plus d’équilibre au motif à répétition.
Un motif perroquet haut en couleurs inspiré d’un ensemble de papiers multi couches trouvé dans un placard situé au rez-de chaussée d’une maison du début du XVIIIème siècle et située en face du Great Ormond Street Children’s Hospital.
Épuré de tout détail superflu, ce panneau devient un trompe l’oeil de panneaux de bois. On peut l’utiliser dans l’ensemble d’une pièce, dans un style traditionnel, ou, pour apporter un esprit architectural, sur un seul mur dans un intérieur plus contemporain.
Un damas typique. Initialement, le motif trouve sa source dans de la soie tissée du XIXème siècle dont l’effet est dupliqué dans le détail d’impression.
Sans commune mesure avec la qualité de ce papier du XIXème siècle, l’échantillon, véritable vestige, provient, non pas des murs d’une élégante maison de ville de Richmond, mais d’une benne extérieur utilisée à l’occasion d’une rénovation en 1989.
Le motif représente des kniphofias aux couleurs éclatantes, communément connues sous l’appellation tisons de Satan ou faux aloès (d’origine africaine mais c’est Johan Hieronymous Kniphof, horticulteur allemand, qui leur a donné leur nom).